Nouveau Traité Européen
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Europe Démocratique ?
Àprès le fiasco du référendum irlandais, c’est de nouveau le branle-bas de combat pour sauver le traité de Lisbonne.
Le peuple doit donner son avis sur l’Europe que nous voulons !
Bravo !
Les Irlandais viennent de rejeter par référendum le traité dit « de Lisbonne ».
Le 29 mai 2005, le peuple français, imité ensuite par les habitants des Pays Bas avait déjà dit NON au Traité Constitutionnel, en exigeant une Europe démocratique et sociale.
Deux ans après, un nouveau traité identique au précédent avait été avancé par la commission européenne. Avec un objectif, éviter le débat sur les politiques libérales et non démocratiques actuellement menées et qui s’imposent à tous.
Ainsi, sur les 27 pays, 26 ont choisi la ratification par voie parlementaire, confisquant la parole du peuple. Seuls les Irlandais ont donné leur avis et il est net, ils ne veulent pas de cette Europe là.
Où en est l’Europe ? Comment obtenir l’Europe que nous voulons ?
Débat public avec Verveine Angeli et Pierre Cours-Salies
Le 29 mai 2008
20h - 22h30
Centre de loisirs « Résistance »
50 avenue de la Résistance, Croix de Chavaux
93100 MONTREUIL
Ce que nous coûte la concurrence libre et non faussée
« L’Etat condamné à verser plus de 600 millions d’euros à Suez Le tribunal administratif de Paris condamne également l’administration fiscale à verser plus de 49 millions à Alcan et plus de 21 millions à Valeo en application d’une jurisprudence européenne sur l’imposition des dividendes. Plusieurs autres groupes demandent l’application de cette jurisprudence. L’affaire pourrait, au total, coûter 3 milliards d’euros aux finances publiques. » (La Tribune 20/01/08)

Étienne Chouard : les traités européens servent les intérêts de ceux qui les écrivent
Interview d’Étienne Chouard par Silvia Cattori, journaliste suisse
Mis à jour le dimanche 9 décembre 2007
Les 500 plus grandes fortunes professionnelles de France pèsent 15% du PIB
Le total des 500 plus grandes fortunes professionnelles de France est passé en un an de 200 à 280 milliards d’euros et pèse désormais 15 % du PIB contre 6 % il y a dix ans, selon le classement 2007 établi par le magazine Challenges.
Au cours de la décennie 1997-2007, le patrimoine professionnel des 500 plus grosses fortunes a triplé et a progressé trois fois plus vite que la richesse nationale, note le magazine.
Mis à jour le jeudi 28 février 2008
Exigeons un référendum
Le Conseil européen de Lisbonne vient d’adopter un nouveau traité européen. Élaboré en plein été, il n’a fait l’objet d’aucun débat public. Il reprend, pour l’essentiel, le contenu du Traité constitutionnel européen (TCE) qui a été rejeté par les Français. Pourtant, le président de la République veut le faire adopter par voie parlementaire, sans consulter les citoyens.
Traité simplifié : Sarkozy confie qu’un référendum serait perdu car « Il y a un gouffre entre les peuples et les gouvernements »
Bruno Waterfield, le correspondant à Bruxelles du quotidien britannique The Telegraph révèle aujourd’hui que Nicolas Sarkozy, devant un groupe de parlementaires européens réunis à huis-clos, a admis que « des référendums sur le nouveau traité européen étaient
“dangereux” et perdants en France, en Angleterre et dans d’autres pays. Il y a un gouffre entre les peuples et les gouvernements ».
Un communiqué de Raoul Marc Jennar sur le traité modificatif
Ainsi donc, ils sont passés à l’acte ! Ils ont osé n’apporter à la nécessaire réforme des institutions européennes que ce qui était prévu dans le TCE.
Absence d’exigence démocratique, absence d’exigence sociale, absence d’exigence écologique.
Ces chefs d’État et de gouvernements que les médias nous présentent comme des « gens responsables » sont en fait les pires des irresponsables : ils construisent une Europe de plus en plus détestable.
Une bataille est engagée. Il faut combattre ce minable traité modificatif qui ne modifie en fait rien d’essentiel. Il n’est pas trop tard. Il n’est pas encore ratifié.
Mis à jour le mardi 6 novembre 2007
La presse britannique réagit à l’article de Giscard dans Le Monde
LONDRES (AFP) - Valéry Giscard d’Estaing a fait irruption dans le débat en Grande-Bretagne autour d’un référendum sur le traité simplifié européen, en estimant que les modifications apportées par rapport à l’ancien projet de Constitution visaient surtout à éviter des consultations populaires.